Nicole Goueta UMP

la diminution des impôts de 2% par an

Le Parisien du   22 mai  nous informe que notre nouveau Maire s'engage à diminuer les impôts locaux de 2% par an durant la mandature. Une telle annonce prouve que l'ancienne municipalité avait bien redressé les finances et laissé une situation budgétaire permettant cette prise de décision. C'est ce que nous avions annoncé aux colombiens avec l'arrivée des nouvelles grandes entreprises sur Colombes.

Nous aurions bien voulu trouver une situation équivalente à notre arrivée en 2001. Malheureusement ce n'était pas le cas.

Sécurisation de la rue Gabriel Péri

Comme je m'y étais engagée, je tiens à vous rendre compte de l'avancement du dossier de travaux qui vont être engagés sur la rue Gabriel Péri, devant le centre commercial, lieu du tragique accident de la petite Maud.

Lors de la réunion que j'avais organisée avec les services de la Ville et ceux du Conseil général, au mois de novembre dernier ( voir la note parue le 30 novembre), un certain nombre de propositions avaient été émises.

La semaine dernière, les services du Conseil général ont finalisés les propositions réalisables rapidement et qui seront effectuées dans les toutes prochaines semaines : réduction de la moitié de la largeur du passage piétons actuellement de 8 mètres, déplacement des feux tricolores dû à la modification de la traversée, réglage des feux en cycle tricolore aux heures ouvrées et passage au rouge sur appel piétons en dehors de ces heures, mise en place de barrières de protection pour canaliser des piétons vers la traversée limitant ainsi les traversées sauvages, revêtement différencié au sol de couleur ocre aux abords du passage piétonnier, déplacement des cabines téléphoniques situées à proximité de l'abri bus RATP.

Même si pour certains les choses ne vont pas assez vite, et je peux le comprendre vu la gravité de la situation et le décès de la petite Maud, ma mobilisation a été immédiate et totale. Ces nouveaux aménagements interviennent moins de six mois après le tragique évènement et j'espère qu'ils seront satisfaisant pour tous.

Je reste néanmoins vigilante sur ce dossier et surveillerai l'efficacité des installations.

Suite au tragique accident qui est survenu avenue Gabriel Péri, j’ai demandé aux services techniques de la Ville et à ceux du Département, de réfléchir sur les possibilités d’amélioration du carrefour et du passage piétons.

Nous sommes donc allés sur place afin de mieux nous rendre compte de la réalité du terrain et de discuter avec les commerçants alentours et les usagers que nous avons rencontrés.

Il en est ressorti, qu’en plus de l’interdiction de stationnement les jours de marché, il pourrait être envisagé une amélioration de la perception du passage piétons et de la visibilité à ses abords et une amélioration de la lisibilité de la station RATP.

Après étude des services du Conseil Général, il serait donc envisagé une diminution de la largeur du passage piéton à 4m (au lieu de 8m actuel). Pour les feux piétons: aux heures ouvrées (à caler sur les heures d'ouverture des commerces et du marché) le feu peut être « cyclé » (au lieu de l'orange clignotant) pour qu'il passe du vert au rouge; en dehors des heures ouvrées, le feu pour les véhicules restera au vert, passant au rouge sur appel piéton. Des barrières pour accompagner les piétons vers le passage protégé, un revêtement différencié aux abords du passage piétons, une reprise du marquage en approche et clarifier la perception de la zone en déplaçant les cabines téléphoniques qui sont au droit de l'abri bus (ce qui permettrait de doubler l'abri bus) et déplacer les stationnements vélos.

Je n’ai pas l’habitude de crier sur les toits tout ce que je fais tous les jours mais je tenais quand même à vous informer de mes actions sur ce dossier. J’ai ainsi reçu la maman de la petite Maud pour lui faire part de ces propositions et voir avec elle si ces mesures lui semblaient les plus adaptées.

De plus, une réunion doit prochainement avoir lieu avec les services du Conseil Général et les parents d’élèves du futur collège Robert Paparemborde, pour étudier au mieux la sécurisation des nouveaux collégiens.

C’est ce qu’on appelle de la démocratie participative. La différence avec certains est que je la pratique sans en parler tous les jours quand d'autres en parle sans la mettre en place…..

Sécurité Routière

Lors du Conseil Départemental de Prévention de la Délinquance qui s’est tenu en Préfecture le 6 novembre dernier, la sécurité routière a été longuement abordée.

Dans le cadre de la prévention routière, des actions de sensibilisations spécifiques ont été mises en places auprès des personnes âgées, des jeunes, des deux-roues, livreurs, commerçants, ambulants…, une amélioration de la signalisation routière, et des contrôles routiers aux sorties des discothèques.

En 2008, les partenariats seront pérennisés, un plan départemental de sécurité routière axé sur les usagers de la route vulnérables sera élaboré. De même, un recensement des lieux accidentogènes sera effectué.

Toutes ces démarches seront renforcées par un plan de contrôle routier départemental et le maintien des contrôles routiers pour lutter contre la vitesse, les conduites en état alcoolémique ou sous l’emprises des stupéfiants.

Je suis intervenue pour que l’on soit particulièrement vigilant pendant les travaux du tramway, avenue du Général de Gaulle et sur la rue Gabriel Péri.

Je tenais à vous en informer et vous rappeler mon soutien plein et entier au développement de toutes ces actions afin que des drames comme celui survenu à la petite Maud ne se reproduise plus jamais.

SDRIF = Schéma de "Densification" de la Région Ile-de-France

Lors du Conseil Municipal du 17octobre, la Ville devait se prononcer sur le projet de SDRIF (Schéma Directeur de la Région Ile-de-France), arrêté par le Conseil Régional Ile-de-France et sa majorité socialiste.

Voici mon intervention faite à cette occasion :

Fondamentalement, la révision du SDRIF devait être l’occasion de traduire une véritable ambition politique pour l’Ile-de-France, et d’inventer un nouveau modèle métropolitain.

Les enjeux sont considérables puisqu’il s’agit, d’une part de la place de la région parisienne en Europe, dans un contexte de vive compétition, entre les grandes métropoles (Londres, Berlin, Francfort, Madrid), mais aussi d’autre part, de l’amélioration des conditions de vie des franciliens dans une réelle optique de développement durable.

L’existence de pôles d’excellences franciliens devait être affirmée et confortée, et les projets visant à renforcer l’attractivité économique de la région devaient être soutenus. Je prendrais comme exemple le développement du pôle aéroportuaire Paris/Charles de Gaulle, le plan de renouveau du quartier de La Défense, le projet emblématique du développement du pôle scientifique de niveau mondial du projet de Saclay, les opérations d’intérêt national d’Orly-Rungis Seine Amont et de Seine Aval.

D’autre part, l’attractivité de l’Ile-de-France dépendait également de sa capacité à attirer une population active en adéquation avec les besoins du développement économique. Il fallait  répondre concrètement aux besoins de la population francilienne en matière de logements, de transports en commun, de routes.

Voici brièvement la feuille de route donnée par l’Etat pour cette révision du SDRIF.

Les enjeux sont considérables puisque ce schéma, opposable à l’ensemble des documents d’urbanisme devait réglementer  l’utilisation des sols de l’ensemble du territoire francilien jusqu’en 2030.

Aujourd’hui se déroule l’enquête publique dans 187 points de la Région jusqu’au 8 décembre, et l’on constate de nombreuses lacunes et dérivent qui entachent ce document.

Il faut savoir que seul l’éxécutif PS-PC-Verts a voté ce document !

Nos amis et collègues UMP et UDF ont voté « contre », l’exécutif régional ayant refusé la plupart des 300 amendements proposés.

En effet, en matière de transport, la Région rejette la quasi-totalité des grands projets routiers principalement en grande couronne, ce qui démontre une méconnaissance manifeste des déplacements des franciliens. Si nous sommes tous favorable à l’utilisation des transports en commun, il n’est pas sérieux d’écarter systématiquement tous les projets routiers et autoroutiers structurants de la région Ile-de-France attendus par les habitants.

-         En ce qui concerne l’objectif global de 60 000 logements pas an fixé par les services de l’Etat, les taux imposés de logements sociaux dans le projet du SDRIF outrepassent clairement la loi SRU actuellement en vigueur. Le taux global a atteindre d’ici 2030 est de 30% de logements sociaux, ce qui est totalement irréaliste pour de nombreuses communes, même si Colombes a répondu à ce chiffre, le rythme de construction de logements sociaux devrait être de 53% du total des logements construits chaque année.

La question qui se pose : quels terrains pour les 60 000 logements ?

Le parti pris de ce schéma d’aménagement est la densification. Néanmoins il y a un décalage entre le discours sur le recentrage et les objectifs chiffrés pour « le centre » et la « périphérie » ( Paris a un objectif de construction de logements moindre que dans le SDRIF de 1994) tandis qu’en périphérie de nombreux terrains sont soumis à des contraintes d’inondations sur des sols pollués qui les rendent impropres à la construction de quartiers résidentiels et rendent impossible les objectifs.

-         en matière économique, le projet actuel du SDRIF écarte purement et simplement le Plan de développement de La Défense sous couvert d’un rééquilibrage EST/OUEST. Le dogmatisme de cette attitude n’aura pour conséquence que de pénaliser l’ensemble du territoire francilien et son attractivité

A ces éléments de fonds, il faut s’étonner que les socialistes, tellement friand de démocratie participative, n’aient pas consultés suffisamment en amont les élus locaux sur la teneur même du document.

Après 2 ans de concertation fort coûteuse, on pourrait supposer que l’ensemble des élus franciliens ait été consulté avant la rédaction de l’avant projet.

Hélas la réalité fut tout autre !

Il est navrant de constater que peu de maires ont été informés de la teneur de l’avant projet, que la plupart ont découvert quelques jours avant le vote en conseil régional les cartes qui vont bientôt nous être opposables.

Les grandes réunions de citoyens et d’associations en tous genre ont primé sur la consultation des élus locaux.

Aujourd’hui, la situation est telle que les avis négatifs sur ce projet pleuvent.

L’Etat dit « ZUT » au SDRIF !

Le 19 septembre, le préfet de Région, Pierre MUTZ, a adressé au Président du Conseil Régional un avis très critique sur ce projet. Il fustige "le calendrier serré" adopté par le Conseil Régional en 2006, et en déduit que de ce fait le document présenté aujourd’hui comporte un certain nombre d’orientations, de dispositions, de descriptions et d’appréciations auxquelles l’Etat ne souscrit pas. Ce projet comporte de nombreuses illégalités, il ne répond pas ou très imparfaitement à certains enjeux majeurs identifiés par l’Etat. Il ne peut contenir de réserves d’adhésions du conseil régional sur certains projets de la compétence de l’Etat.

Le 29 juin dernier, le Conseil Général des Hauts-de-Seine a délibéré sur le projet du SDRIF en donnant un avis défavorable et a demandé à la Région de reprendre et modifier le projet par :

-        l’affirmation du territoire stratégique de La Défense dans sa dimension de locomotive régionale et nationale en matière de pôle d’emplois, de pôle d’innovation et de rayonnement international,

-        la prise en compte des sites et projets départementaux dans le développement des pôles de recherche et d’innovation, notamment le pôle universitaire de Nanterre, et les pôles d’innovation du Val de Seine,

-         une meilleure prise en considération des priorités départementales en matière de transports,

-        la suppression de toute mention d’une station d’épuration dans le territoire du Val de Seine, le scénario « C » du SIAAP ayant abandonné cette hypothèse,

-        la suppression de toute mention d’avis défavorable aux Opérations d’Intérêt National et de toute prescription concernant leur mise en œuvre,

-        la prise en compte des efforts de construction de logements déjà réalisés par les Hauts-de-Seine sur la période 1990- 2005 en fixant les objectifs de construction pour le département à 6 600 LOGEMENTS NEUFS PAR AN DONT 3300 DE LOGEMENTS SOCIAUX,

-         l’inscription des projets de bouclage des rocades routières situés à l’Ouest,

-        la prise en compte de toute une liste d’observations annexée à la délibération,

-         le dernier point très important  consiste à l’opposition du Département aux conditions préalables posées par la Région Ile-de-France à la mise en œuvre du SDRIF et notamment à toute forme de tutelles sur les autres collectivités territoriales.

Il avait été demandé à la Région que les modifications souhaitées soient prises en compte préalablement à l’enquête publique. Il n’en a rien été !

Comme il n’en a rien été de la prise en compte de la contribution de la ville de Colombes qui s’inquiète du devenir de la reconquête des zones pavillonnaires au profit de l’habitat collectif.

Une fois de plus, Messieurs et Mesdames de l’opposition, il y a contradiction entre vos discours et vos votes.

Je rappelle que la CCIP, le département du Val d’Oise et celui des Yvelines ont émis aussi un avis défavorable, comme l’Etat et les Hauts-de-Seine.

Je renouvelle notre proposition de voter « contre » le présent SDRIF.

UN NOUVEAU COLLEGE A COLOMBES

Le Collège Robert Paparemborde ouvrira ses portes à la rentrée 2008. D’une capacité de 500 élèves, il viendra compléter le dispositif déjà existant des cinq collèges de Colombes.

Le collège Lakanal, transféré provisoirement au collège Taillade, sera livré en février 2009 alors que le collège Henri Dunant commencera ses travaux à la fin de l’année scolaire (juillet 2008) pour une durée de trois ans.

Pendant les travaux du collège Henri Dunant, les élèves seront accueillis dans le nouveau collège Paparemborde.

Lors de ce déménagement provisoire, les élèves de 4° et 3 ° de la SEGPA, en accord avec la direction du collège et de l’Inspection académique, seront transférés à Asnières, au collège André Malraux.

Les élèves de la rue Jules Ferry et de la rue Racine (actuellement au collège Henri Dunant) et ceux de la rue des Renouillers et de l’avenue Humbert (collège Gay Lussac), iront provisoirement au Collège Moulin Joly.

En effet, le Conseil Général des Hauts-de Seine a opté pour la construction de collèges de petite capacité (500-600), de taille humaine, afin de privilégier le cadre de nos élèves.

Le temps des grands cités éducatives est révolu car on a bien vu les effets néfastes que cela peut engendrer sur les conditions d’apprentissage des enfants et la qualité de travail pour les enseignants.

Colombes disposera donc de six collèges pour la rentrée 2010, de taille humaine et refait à neuf pour le bien-être de nos enfants.

Les quelques désagréments causés pendant la durée des travaux en valent bien la peine !…

Une vidéo surveillance efficace

Dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, la rue Saint Denis a été victime de 3 incendies criminels, heureusement rapidement circonscrits grâce à l'intervention des pompiers.

Ces actes inadmissibles sont le fait d'un individu isolé en état d'imprégnation alcoolique et qui sera probablement déféré au parquet dans la journée.

L'interpellation de cet incendiaire a été rendue possible grâce au réseau de vidéo surveillance qui une fois de plus prouve son efficacité.

Je rappelle en effet que depuis 2004, à mon initiative, une soixantaine de caméras de vidéo surveillance sont réparties sur l'ensemble du territoire communal.

J'ai tenu immédiatement à remercier les forces de Polices Nationale et Municipale dont la parfaite collaboration a permis d'éviter que cet acte délictuel n'ait des conséquences dramatiques.

Après ce triste incident, il sera difficile à l'opposition socialo-communiste de douter de l'efficacité de la vidéo surveillance qui est adoptée par de plus en plus de villes en France, y compris dans des villes de gauche.   

Xavier DARCOS au collège Moulin Joly

J'accueillais ce matin  Xavier DARCOS, Ministre de l'Education Nationale, au collège du Moulin Joly. Le Ministre a souhaité venir à Colombes pour se rendre compte du dispositif "école ouverte" qui fonctionne pendant les vacances scolaires et les mercredis et samedis durant l'année scolaire.

Lancé en 1991,ce dispositif interministériel permet d'accueillir dans les collèges et lycées des jeunes ( y compris des élèves des écoles élémentaires ) qui ne partent pas en vacances. Ecole ouverte s'adresse en priorité aux enfants et aux jeunes qui vivent dans des quartiers socialement défavorisés ou dans des contextes culturel et économiques difficiles. Les activités proposées ont un caractère scolaire pour 34 % du temps en moyenne (aide méthodologique, aide aux devoirs, soutien ). Pour le reste, elles sont culturelles ( 27 % ) du temps, sportives et de loisirs.

Ecole ouverte a des effets positifs: en ouvrant le collège ou le lycée sur le quartier et parfois sur un environnement plus large, l'Ecole ouverte modifie le regard des jeunes sur leur établissement.

Surtout, cette opération améliore les relations entre les jeunes et les adultes. Elle instaure ou consolide, dans l'établissement, un climat de confiance. Elle favorise par ailleurs la responsabilisation des élèves et permet à ceux d'entre eux qui sont nouveaux dans l'établissement, en particulier les élèves de 6ème, de s'adapter plus facilement et de construire un meilleur rapport au savoir.

Ecole ouverte est également un moyen efficace de lutte contre la violence à l'école.

Au collège du Moulin Joly, 150 élèves sont concernés par ce dispositif. Les ateliers qui leur sont proposés sont maths, manga, maquette vidéo, foot en salle...Une convention entre cet établissement, le conseil général et l'inspection académique est en cours d'élaboration pour que le collège Moulin Joly devienne mutualisateur de l'opération "école ouvert" pour l'année scolaire 2007-2008.

Près de 2 000 Colombiens dans le bus expo ANRU !

J'ai rencontré près de 2 000 Colombiens dans le bus expo ANRU, dans lequel la Ville a présenté dans les quartiers concernés l'ensemble des projets de rénovation urbaine.

Pour ce qui est du quartier des Fossés Jean, voici quelques extraits du courrier que j'ai adressé le 3 juillet dernier aux membres du bureau de l'association " Bien vivre aux Fossés Jean ".

- une réunion publique avait déjà été organisée le 22 novembre 2006 pour informer l'ensemble des habitants de ce quartier, du projet déposé en janvier 2007 auprès de l'Agence Nationale de Rénovation Urbaine ( ANRU ).

Depuis cette réunion, deux autres réunions ont eu lieu: la première s'est spécifiquement tenue avec les habitants du 11 Michelet, le 12 février 2007. En parallèle, un groupe de travail a été constitué en Mairie de quartier le 27 mars 2007,comprenant des représentants des habitants, un technicien de la ville et des membres de l'association "Bien vivre aux Fossés Jean".

- En ce qui concerne la démolition des installations "DE PAEPE", celle-ci avait déjà été exposée aux habitants lors d'une réunion publique du 8 avril 2005.

- Les avantages de ce quartier seront non seulement préservés mais aussi renforcés avec notamment de nouvelles circulations piétonnes, la création d'espaces de respiration autour des immeubles ainsi que la réhabilitation de certains d'entre eux.

- Bien consciente de la crise actuelle du logement, je confirme que tout logement social démoli sera reconstruit.

- j'ai également pris note du souhait des représentants de l'association "Bien vivre aux Fossés Jean" de voir démoli l'immeuble du 205 avenue de Stalingrad.

Eu égard aux enjeux et aux atouts de ce quartier, notre ambition commune doit être des plus ambitieuse pour permettre à chacun de retrouver une véritable qualité de vie au sein d'un espace urbain préservé.

Des solutions oui, mais dans le dialogue et la concertation..

Dans un article du journal le Parisien daté de ce jour et consacré aux problèmes de stationnement rencontrés aux abords du Consulat du Maroc, Viviane Le Guennec, très proche du socialiste Philippe SARRE et ancienne Directrice d'école, considère qu'il "est urgent de trouver une solution avant que des réactions violentes n'apparaissent".

Quel bel exemple d'appel à la non concertation et au non dialogue. Ce n'est pas de tels propos qui vont nous rassurer sur l'éducation dispensée à nos enfants par certains enseignants...